Cet article soutient que nous devons envisager de nouvelles options pour la mobilité et les infrastructures de transport dans une société aux énergies post-fossiles. Il souligne que la direction déjà empruntée par les pays développés ne constitue pas une feuille de route pour ceux qui vont suivre. La question essentielle est de savoir comment déployer les nouvelles options selon les différents contextes des pays développés et en développement.